#1 tonight is the night. (NARLIE)

Il s'attaqua à mes tétons, les tirant, les titillant, me provoquant des frissons dans tout le corps, alors que j'avais sa grosse bite dans la bouche. Après un moment de plaisir, il se retira finalement, et s'installa sur le lit. Il était là, sur le lit, bandant, sa grosse bite dans sa main et il voulait que je me mette moi-même sur sa bite. Il voulait m'enculer, mais il voulait que je lui montre ce que je savais faire. Il voulait surtout voir que j'étais accro à sa bite, à bouger dessus. Avec plaisir. Je me dirigeai vers lui, et mis d'abord dos à lui, afin qu'il ait vue sur mon cul, vue sur mon trou qui se dilatait lorsque je m'enfonçais sur sa queue. Je vins me placer au dessus de son membre et m'y empalai d'un coup sec, dilatant mon entrée. Je me mis à bouger lentement afin qu'il voit bien mon cul se refermer sur sa bite alors que je gémissais son prénom. Finalement je me mis face à lui, et là j'augmentai la cadence, le chevauchant, bougeant comme une pute accro à sa queue, toujours plus vite, m'enfonçant toujours plus sur son membre. Je gueulais tellement j'aimais ça.

Il ne rechigna pas, loin de là, il aimait ça, il était fou de ma queue. De dos, il vint s'empaler sur ma bite, gueulant mon prénom, ce qui avait le don de m'exciter encore plus. Je mis mes mains sur son petit cul pour sentir les mouvements qu'il opérait sur ma bite. Puis il se mit face à moi, et il me chevauchait de plus en plus vite. Je lui attrapai les tétons, les tirant de plus en plus fort pour accentuer ses gémissements, me faisant doucement gémir par la même occasion. " Va plus vite putain, fais moi jouir ! " gueulai-je pour l'inciter à faire la pute sur ma queue. En réalité, je résistai intérieurement, de ne pas jouir, je voulais qu'il se donne à fond jusqu'à jouir à n'en plus pouvoir avant que je lui remplisse son cul de pute.

Il se mit à martyriser mes tétons, me faisant gueuler encore plus. J'aimais tellement m'asseoir sur sa bite, la sentir me dilater le cul. Charlie semblait apprécier à écouter ses gémissements, mais il en voulait encore, il ne semblait pas satisfait. Je me mis donc à m'empaler bien entièrement sur toute sa queue, allant de plus en plus vite, mais aussi en allant jusqu'au fond de mon trou, gueulant son prénom. De tous mes clients, c'était celui qui me faisait le plus d'effet, il n'y avait rien qu'à voir ma bite comme elle était tendue. Mais je ne m'arrêtais pas, j'étais infatiguable, m'empalant sans m'arrêter sur sa bonne grosse queue, m'amusant à serrer mes fesses de temps en temps pour lui donner encore plus de plaisir.

Putain, il encaissait ma queue sans rien dire, il gémissait comme une pute, mais pas une trace de sperme. En plus de cela, il me narguait en serrant son petit cul de salope. Cela m'excitait qu'il résiste, et l'envie ne faisait que monter en moi, jusqu'à ce que je craque. Je tirai ses tétons pour le rapprocher de moi, puis je soulevai mes jambes, prenant appui sur mes pieds. Je me mis à le démolir, le baisant comme jamais je n'avais baisé. Sauvagement, violemment, et sans retenue. Je lui faisais sûrement mal, mais je m'en foutais, il n'avait qu'à pas résister et c'était ma pute. Je l'enculai littéralement. " Putain fais-moi goûter ton sperme."